Turbulences à l’atterrissage

La confrontation avec Airbus s’annonçait cruciale pour les garçons de l’ASCM en vue du maintien en 1e division. La défaite 3-2 laisse un goût amer. 

Perdre une rencontre au double décisif est toujours cruel. S’incliner au super tie-break l’est encore davantage. C’est le scénario qu’ont vécu les garçons du Crédit Mut à l’occasion de la réception d’Airbus, samedi 17 septembre, sur les courts du TC Rosheim.

Après les quatre simples disputés sur terre battue extérieure par un temps capricieux, le score était de deux points partout. Nicolas Rasamoelina (4/6) et Antoine Martin (5/6) avaient baissé pavillon contre deux adversaires très solides. Dans les deux autres simples, Antoine Bonin (5/6) et Quentin Vogt (5/6) avaient permis d’entretenir l’espoir en s’imposant en deux sets. Mention spéciale à Quentin, dont la raquette n’a pas tremblé pour son baptême du feu en championnat de France tennis entreprise.

Le double s’est joué en indoor sur une surface synthétique. Après avoir empoché la première manche de belle manière, la paire Martin/Bonin a plongé, le super tie-break tournant carrément au cauchemar. Défaite 2/6 6/4 1/0.

Il faudra désormais un exploit pour que notre équipe se maintienne au plus haut échelon du tennis entreprise. Cela passe par une victoire samedi prochain à Paris chez l’épouvantail US Metro, ou le 8 octobre dans la banlieue lyonnaise. On y croit !

 

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