
Nos tennismen se déplaçaient pour la dernière journée de championnat à Dijon pour affronter l’Union Sportive des Cheminots Dijonnais, avec pour enjeu la première place de la poule, synonyme d’accession en National 1.
Avec l’absence de leur numéro 1 classé 1/6, retenu par un tournoi à Paris, la rencontre devenait sérieusement jouable.
Sur les courts en green set de l’université de Dijon, nos garçons ont fait le job.
Nicolas Rasamoelina (5/6) et Antoine Martin (15/1) ont mis l’équipe sur les bons rails avec des victoires en deux petits sets face à des cheminots classés respectivement 15/1 et 15/3.
Et Stéphane Jaeck (15/1) a terminé le travail en apportant le point décisif face à un adversaire classé 15/2.
Pendant ce temps-là, Quentin Vogt (5/6) a dû baisser pavillon face un cogneur (c’est peu de le dire !) intouchable à 5/6 …
Avec cette victoire, nos garçons pouvaient avoir le sourire puisqu’ils retrouvaient l’élite du Tennis Entreprise, deux ans après l’avoir quittée.
Le week-end suivant, ils s’envolaient vers Toulouse pour affronter Astrium pour une place en finale du championnat de France de National 2. Nos tennismen voyaient la vie en rose…
D’autant qu’après les deux premiers simples remportés par Nicolas Rasamoelina et Antoine Martin, nos garçons étaient bien partis. Mention spéciale à Nico dont c’était le 6ème match de la semaine, vainqueur la veille du tournoi de Hoerdt s’il vous plaît !
Malheureusement les défaites de Quentin Vogt et Stéphane Jaeck combinées avec la perte du double décisif privaient nos joueurs de la grande finale à Lille.
La déception légitime a rapidement laissé place à la fierté d’être monté en N1. Nos garçons sont déjà impatients de se frotter l’an prochain aux grosses cylindrées du Tennis Entreprise.
Sylvain Schneider